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Quel type de personnalité inconsciente êtes-vous ?
Dans ce test de personnalité, découvrez quel mécanisme gouverne votre vie. Et apprenez à prendre en main votre pouvoir.
Dépêche-toi
Message :
Il est important d’agir rapidement, sans perdre de temps. Tout doit être mené rondement. Leurre : Tu vas pouvoir tout faire dans le temps dont tu disposes. Il suffit de te dépêcher et... tout se
passera bien.
Comportements :
Sous l’influence de ce message, les personnes passent d’une activité à l’autre. Elles sont sans cesse en train de courir ou d’imaginer ce qu’elles vont faire dans l’instant qui suit. Elles ne supportent pas d’attendre, que ce soit pour acheter le pain ou pour obtenir un numéro de téléphone. Le rythme des autres peut leur être insupportable. Pour eux, quelqu’un qui ne court pas est quelqu’un qui ne travaille pas. De même, toute action importante est obligatoirement urgente. Elles coupent fréquemment la parole à leur interlocuteur. Elles sont incapables de se relaxer ou de rester sans rien faire.
Comme elles sont toujours en action, elles arrivent souvent en retard. Il est possible que ce message soit lié à l’injonction « ne pense pas ». En effet, quelle meilleure façon d’éviter de penser que de toujours être en action ?
Gestes et mimiques :
Le corps est constamment en mouvement : les doigts pianotent sur le bureau ou sur la table. Le pied
s’agite par saccades, la personne se tortille sur sa chaise. Quand elle est debout, elle arpente la pièce. Le regard change constamment de positions. Elle regarde fréquemment sa montre.
Mots et expressions utilisées :
Le rythme de la voix est souvent très rapide et saccadé. Les mots les plus couramment utilisés sont :
Dépêche-toi, dépêchons
Vite
Allons
D’accord, d’accord, d’accord
Ensuite
Et après
Soyons bref
Pas le temps
Secoue-toi
Émotions :
C’est l’impatience qui est le plus souvent ressentie par le « dépêche-toi ». L’excitation peut être
intense.
Face à l’absence de projets ou d’actions à mener, le « dépêche-toi » peut être envahi par l’angoisse.
Coté positif :
L’efficacité est parfois un des atouts des personnes porteuses de ce message. Elles sont capables de
mener plusieurs actions de front.
Permission ou antidote : Gère ton temps. Prends ton temps
Sous l’influence de cette permission, la personne est capable d’agir et de mobiliser son énergie en tenant compte de la nature de l’action et de ses limites personnelles.
« Qui veut voyager loin ménage sa monture » traduit état d’esprit d’une personne qui possède cette permission.
Étapes pour intégrer cette permission :
Établir un plan de travail ou d’actions à mener en précisant le temps nécessaire à chaque point : un bon plan de travail se doit d’être précis et réaliste. Dans la mesure du possible, il est préférable de traiter une seule chose à la fois et de poursuivre jusqu’au bout. En cas d’interruption, il est judicieux de noter le point d’arrêt de l’action en cours pour pouvoir reprendre plus facilement. Dans une bonne organisation du temps, il est important d’ajouter un temps d’imprévu à son plan de travail quotidien.
Inclure les pauses dans sa journée. Une bonne organisation du travail tient compte des pauses nécessaires à l’individu pour se ressourcer. Ces pauses peuvent être brèves, entre 5 mn et 15 mn, mais elles sont indispensables pour maintenir une efficacité optimale.
S’occuper de soi. Cela passe par un moment où l’on n’est plus dans l’action mais où l’on s’occupe de soi. Les massages, les soins du corps, la relaxation, mais également des balades dans un endroit calme, sont de bons moyens de prendre son temps et de l’apprécier à sa juste valeur.
Sois fort
Message:
Il est important de ne pas montrer ce que l’on pense ou ce que l’on ressent, particulièrement ses faiblesses et ses doutes. Dans la vie il faut s’en sortir seul et ne compter que sur soi.
Leurre : tu vas pouvoir prouver que tu es le plus fort, que tu tiens le coup quoiqu’il arrive.
Quand une personne est sous l’influence de ce message, elle se montre incapable d’exprimer ses émotions et ses sentiments. Pour elle, cette expression s’avère difficile, voire impossible, parce qu’elle révèle un signe de faiblesse. De la même façon, elle se sent très mal à l’aise devant l’expression des sentiments d’autrui. Elles préfèrent fuir plutôt que d’être confrontée aux larmes d’une personne. Le « sois fort » à l’air de faire preuve d’une grande maîtrise émotionnelle. Celle-ci se traduit par une rigidité excessive tant dans le système de pensée que dans le tonus musculaire. L’intolérance est une de ses caractéristiques : ce sont les autres qui se trompent, lui ne peut commettre d’erreur de jugement.
L’héroïsme et les actions dangereuses avec prises de risque inconsidérées peuvent également être des manifestations de ce message.
Certains « sois fort » ont la joie comme sentiment racket. Dans ce cas, ils se montrent blagueurs et « bon vivant ». Ceci apparait pourtant comme une façade et on a l’impression d’une joie forcée.
L’ensemble de la gestuelle est peu mobile. Le « sois fort » a très souvent des gestes fermés : les bras sont croisés ou serrés devant le corps, les jambes sont également croisées ou très serrées l’une contre l’autre.
L’apparence globale montre une intimité corporelle. Le visage présente peu de mimiques. Il apparait comme inexpressif.
Dans ses expressions, le « sois fort » utilise peu la première personne su singulier. Le « Tu » remplace le « Je » dans l’énoncé, marquant ainsi la distance entre l’émotion et l’expression du sentiment. Quand le « Je » est utilisé, les tournures de phrases positionnent rarement la personne en tant que « sujet ».
- Tu m’inquiètes
- Tu me mets en colère
- Ce livre me fatigue
- Il m’est arrivé
- Je me suis senti
- Il faut savoir encaisser
- Peu importe
- Cela m’est égal
- Je m’en moque
- Pas de commentaires
C’est la crainte et la peur qui dominent ce message, même si elles ne sont pas exprimées. Le « sois fort » veut toujours faire face. Pour cela il est prêt à tout accepter, même quand c’est trop difficile pour lui. C’est en ce sens qu’il se surmène et vit en tension permanente. Il ne veut pas accepter et montrer qu’il a des limites. Comme dans la fable, il peut craquer, comme le chêne, brutalement, sans crier gare.
La ténacité et la résistance sont les deux aspects positifs de ce message. Le « sois fort » peut aller
loin. Il est endurant et sait serrer les dents.
Permission ou antidote : SOIS OUVERT
Sous l’influence de ce message, la personne exprime ses sentiments et ses émotions. Elle prend le risque de se montrer telle qu’elle est, avec ses joies, ses faiblesses et ses doutes. Elle est donc communicative et fait preuve de tolérance vis-à-vis des autres.
Elle connaît ses limites et sa valeur. Elle accepte ses erreurs et les erreurs d’autrui.
Ressentir les émotions quotidiennes, quelle qu’en soit la nature : il s’agit ici d’accepter le flux d’émotions dans lequel nous sommes baignés à chaque instant. Certaines de ces émotions peuvent être agréables, d’autres désagréables. Dans tous les cas, il s’agit d’émotions qui n’appartiennent qu’à nous et dont nous sommes responsables. Pour cela il est nécessaire d’accepter quelques instants de lucidité. Au cours de celles-ci, il convient de ressentir, sans pour autant la nommer, l’émotion ressentie : la tension, l’irritabilité, la satisfaction, la peur...
Repérer ses limites : le corps est un bon indicateur pour cela. Dès qu’une tension apparaît, il est judicieux de comprendre en quoi le corps réagit : s’agit-il de fatigue ? d’un refus non exprimé ? d’une contrariété ?
Exprimer ses sentiments et ses limites. Le premier pas consiste à nommer le sentiment en se sentant responsable de celui-ci : « je suis en colère » au lieu « cette situation me met en colère ». Le second pas consiste à exprimer avec son corps le sentiment : ton de la voix, mouvements des yeux et du corps au lieu d’entretenir le contrôle. Il s’agit alors de « lâcher » le corps dans l’expression du sentiment.
Fais plaisir
Il est important d’être gentil avec tout le monde et d’accepter les demandes d’autrui. Il faut éviter les heurts et les conflits avec les autres.
Leurre : tu vas pouvoir faire plaisir à tout le monde. Tu vas pouvoir être aimé de tous.
Les personnes sous l’influence de ce message sont particulièrement vigilantes aux désirs de l’autre et parfois les devances. C’est à ce titre que l’on dit d’elles, qu’elles sont télépathes. Incapables de supporter les conflits ou la rancune d’une personne, elles ne peuvent dire non, même si pour cela elles se trouvent face à des difficultés complexes à résoudre. Bien entendu, elles sont repérées facilement dans un service et au sein de la famille. C’est toujours elles qui sont dérangées pour répondre aux demandes des collègues ou des proches. Elles passent leur temps à dépanner et à rendre service, quitte à travailler plus tard pour achever leur propre travail.
Il arrive également que les personnes qui ont ce message soient particulièrement envahissantes, voire étouffantes. Elles ont tellement le désir d’aider l’autre qu’il leur arrive de trop en faire et d’être rejetées.
En revanche, elles sont elles mêmes incapables de formuler des demandes personnelles et peuvent parfois souffrir du manque d’écoute à leur égard.
Les personnes qui utilisent ce message ont des gestes et attitudes très centrées sur l’autre : la tête est penchée dans une attitude d’écoute, les bras sont ouverts, les mains étendues, un petit sourire sur les lèvres. Tous ces gestes, plus tendus que dans une expression authentique indiquent une attitude de séduction ou de manipulation.
De nombreuses formulations commencent d’une façon interrogative :
D’accord ?
N’est-ce pas ?
Tu sais... ?
Non?
Pourrais-tu ?
Voudrais-tu ?
Vraiment ?
Quelquefois, il arrive que les personnes sous l’influence de ce message terminent les phrases de leur interlocuteur ou les reprennent en écho.
Sous l’influence de ce message, les émotions et sentiments sont souvent exacerbées : peur, voire angoisse, de ne pas avoir plu ou d’avoir été contrariant, plaisir intense d’avoir rendu service, sensation d’être abandonné ou de ne pouvoir être compris.
Dans tous ces exemples, ce sont les autres qui orientent le sentiment et non la personne qui en est responsable.
Dans son désir de plaire et de satisfaire les autres, le « fais plaisir » fait preuve d’une grande
flexibilité et peut s’adapter très rapidement à un nouveau contexte.
Permission ou antidote : PENSE AUSSI A TOI
Penser à soi, c’est avoir la capacité de connaître ses besoins et de se donner les moyens d’y répondre. Les autres n’en deviennent pas pour autant absents, mais s’il est important de connaître leur demande il est important de reconnaitre leur propre désir, de les satisfaire ou non.
De plus, c’est avant tout quand on s’occupe bien de soi que l’on est à même de se faire respecter et de donner d’une façon authentique.
Formuler clairement ses demandes ou ses refus : dans ce cas il s’agit d’être au clair sur ce que l’expression de sa demande ou de son refus peut produire chez l’autre. Un refus peut entrainer du mécontentement, une demande peut entrainer un refus. En s’y préparant mentalement, la réaction de l’autre devient acceptable et entraine moins d’émotions désagréables.
Laisser les autres formuler leurs demandes : chacun est capable d’exprimer une demande ou d’être confronté à des difficultés qui ne concernent que lui. Inutile de devancer son désir ou de l’empêcher de grandir.
Répondre aux demandes d’autrui en se protégeant. Pour éviter tout danger, les trois bonnes questions à se poser sont :
Est-ce que j’ai envie de répondre à la demande ?
Est-ce que j’ai les compétences nécessaires pour répondre à cette demande ? -Ai-je les moyens de répondre à cette demande ?
Trois « oui » à ces questions permettent d’agir sans risque. Un seul « non »est le signe d’un éventuel danger pour la personne.
Fais des efforts
Il est important de s’acharner et de recommencer sans cesse pour arriver à quelque chose. C’est l’effort fourni qui est capital et non le résultat obtenu.
Leurre :
Une personne qui s’acharne et se fatigue gagne toujours.
Sous l’influence de ce message, les personnes se donnent beaucoup de mal, sans pour autant parvenir à atteindre leurs objectifs. Elles sont prêtes à faire et refaire sans cesse mais n’arrivent pas à finir. Elles se plaignent des difficultés qu’elles rencontrent mais compliquent tout à plaisir. Elles peuvent se sentir écrasées par une tâche mais s’y accrochent quoi qu’il arrive. Elles trouvent que les autres sont un peu « légers » et ne font pas assez d’efforts. Elles ont également du mal à repérer leurs priorités : pour elles, l’important est ce qui est difficile.
« Pourquoi faire plus facile quand on peut faire difficile ?» est une formulation qui leur va comme un gant.
Très peu de mobilité chez les personnes qui ont ce message. On remarque surtout une tension
générale du corps et particulièrement des plissures au niveau du front et des yeux. Le corps est penché en avant, les poings sont crispés.
Mots et expressions utilisées :
Le « fais des efforts » se comporte comme s’il ne comprenait pas bien ce qu’on lui dit ou qu’il n’était pas certain des réponses qu’il produit. Il ne termine pas ses questions ou en pose plusieurs sans avoir attendu la réponse. Il répète la question qui est formulée même quand il la comprend. Il ne répond pas aux questions posées. Il ne termine pas ses phrases, fait des pauses entre les mots, bégaie, quelquefois et agrémente ses phrases de « euh...euh ». Ses mots préférés sont :
C’est difficile
Je ne sais pas si je vais y arriver
C’est un problème
J’aimerais, mais...
Je vais essayer
Ce qui est le plus souvent exprimé par les porteurs de ce message est la colère. Celle-ci s’adresse bien sûr à l’encontre de tous ceux qui ne font pas autant d’efforts. Le « fais des efforts » peut également se sentir seul et incompris.
La persévérance et l’obstination sont les aspects positifs de ce message.
Permission ou antidote : RÉUSSIS A TA MESURE
Sous l’influence de ce message, la personne est centrée sur son objectif et tient compte de ses limites et de ses possibilités. Elle apprécie ce qu’elle obtient et entretient avec les autres des relations simples et directes. Elle est capable de rendre facile et clair ce qui parait compliqué. Elle sait équilibrer effort et résultat.
Penser d’abord à l’objectif à atteindre et non aux efforts à fournir. Pour atteindre un objectif, il est important de le comprendre avec précision et de le formuler de façon positive : Exemple : « je veux avoir 2% de plus dans mes résultats de fin d’année » est très différent de « je ne veux pas avoir de moins bons résultats ». Ce type de formulation positive permet de se centrer sur les moyens à mettre en œuvre pour atteindre son objectif.
Entre deux maux choisir le moindre : plusieurs moyens permettent d’atteindre un objectif. Entre ces différents moyens il est judicieux de choisir celui qui entraîne le moins d’effort.
Se féliciter des résultats obtenus. Toute réussite se doit d’être fêtée et appréciée à sa juste valeur.
Sois parfait
Il est important de tout faire parfaitement, de ne rien laisser au hasard et de voir tous les détails.
Tu vas pouvoir être parfait à 100%.
Les personnes sous l’influence de ce message sont obsédées par les détails. Pour elles, il n’existe qu’une seule façon de faire qui peut se mesurer au millimètre près. Elles supportent mal les imprécisions et imperfections. Elles n’hésitent pas à les signaler. Elles sont capables de passer beaucoup de temps pour faire un travail. De la même façon elles peuvent faire refaire un travail qui ne leur parait pas conformes à leur attente. Elles sont donc très exigeantes dans les attentes qu’elles ont par rapport aux autres et elles peuvent fatiguer leur entourage.
Leur œil est très vigilant pour repérer toutes les fautes de frappe et de syntaxe qui leur saute littéralement aux yeux.
Tout ceci implique une grande difficulté à déléguer. Autant faire soi même ce que l’autre ferait mal est leur « maxime ».
Les yeux sont vers le haut. Le visage apparaît comme sérieux, voire sévère ; la bouche est légèrement
tendue.
La posture est droite, un peu rigide. L’index est souvent pointé. Les doigts sont utilisés dans l’énumération de points.
Les phrases construites par une personne sous l’influence d’un message « sois parfait » sont longues, truffées de détails et de précisions. Elles sont alimentées par un vocabulaire recherché et structurées de façon très précise.
Les expressions types sont :
Je pense que
Exactement
Il est clair que
Evidemment
Inconséquent
En quelque sorte
Probablement
Pourrait-on dire
C’est l’anxiété, l’insatisfaction et la culpabilité qui dominent dans ce message. Les individus soumis au message « sois parfait » ne sont jamais complètement satisfaits de leurs réalisations ou de celles d’autrui. Ils pensent qu’ils auraient pu encore faire mieux.
Ils craignent les remarques négatives qu’ils ressentent comme une atteinte personnelle.
Trop souvent dans une attitude de contrôle et de rigidité, ils peuvent éprouver de grandes fatigues.
Coté positif :
On peut compter sur la qualité effectuée par un « sois parfait ». De plus, en règle générale c’est un bon organisateur.
Permission ou antidote : SOIS RÉALISTE
La réalité est une donnée essentielle dont il faut tenir compte pour mieux s’adapter. Connaître ses limites ; connaître les possibilités réelles dont nous disposons pour réaliser un travail dans un temps donné, accepter de rendre un travail qui ne contient pas l’ensemble des détails utopiques dont nous aurions aimé le truffer, c’est faire preuve de réalisme.
Sous l’influence de ce message positif, il est possible d’être satisfait des réalisations que l’on mène à bien. Les critiques et les remarques sont les bienvenues. Elles permettent de progresser.
Accepter les différences : les autres n’auront pas toujours les mêmes façons de faire que nous. Nous pouvons apprendre à mieux les connaitre en repérant leur savoir-faire. Il est surement différent du notre et à ce titre peut nous enrichir.
Déléguer : une fois que l’on connait les méthodes de travail de l’autre, il est possible de déléguer. En déléguant, il est judicieux d’anticiper mentalement le travail fourni par la personne, en tenant compte de ses savoir faire personnels.
Etre bienveillant avec soi et avec les autres : chacun à le droit de commettre des erreurs et de s’encourager dans la réussite. Nous pouvons facilement passer de la persécution involontaire à la bienveillance, tout simplement en passant de « Parent persécuteur » au « Parent nourricier ».
Je suis, à priori méfiant
Je suis d’un naturel souriant
J'ai toujours mille choses à faire
Quand je commence un travail, j’aime aller jusqu’au bout même si je me rends compte, en cours de route, qu’il n’est pas aussi utile que je le pensais
Je suis très attaché aux détails
Dans une négociation, faire une concession m’est pénible
Je supporte mal l’agression
J’aime bien avoir tout préparé et être prêt quelle que soit l’éventualité qui se présente
Je crois en la vertu du travail tenace et persévérant
Je suis un impatient
Je me méfie de l’imprécision et de l’à peu près
J’aime «marquer des points» dans une discussion
Contredire quelqu’un me rend souvent mal à l’aise
Je préfère agir vite que de prendre mon temps
Je pense que le mérite dépend plus des efforts que des résultats
Quelqu’un qui s’acharne, se fatigue, insiste, finit toujours par gagner
Quitte à entreprendre quelque chose, autant le faire parfaitement
Les meilleures négociations sont celles qui sont enlevées « au pas de course »
J’aime assez montrer mon pouvoir
J’ai souvent peur de déplaire ou de décevoir
Je n’ai pas peur des conflits. Il m’arrive même de les provoquer, à dessein
Face à une difficulté, je m’acharne et n’ai pas peur de passer du temps
Je suis satisfait quand je suis bien avec tout le monde
Je suis assez perfectionniste
Dans une négociation, mes armes sont souvent l’amabilité et la conciliation
Pour réussir, il faut mener toutes ses affaires le plus rapidement possible sans laisser de répit
Quand j’attaque, c’est de front et sans complaisance
C’est dans la rapidité, l’intensité dramatique que l’on négocie le mieux
Une bonne manière de convaincre quelqu’un, c’est d’insister et de répéter
Je fais toujours tout pour maîtriser parfaitement tous les éléments d’un dossier